Chez Bacabon, c’est au comptoir d’une petit salle un peu sombre que tout se joue, et même si la carte évoque des « tapas », c’est bien une nourriture d’izakaya qui y est servie. L’établissement, qu’on peut louper aisément depuis la rue, est à quelques pas seulement d’un joyau de la bistronomie, Septime et ses annexes, à un croisement entre la rue de Charonne (Paris 11ème) et une autre avenue bien achalandée en lieux à manger.

A la carte, donc, de l’edamame (5€), deux onigiri du jour à 6€, takoyaki (7€), tataki de bonite au ponzu (9€), omelette à l’anguille (8€), karaage ou gyoza (7€). De quoi commander vins nature, saké ou bière puisque, comme dans tout iazz

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